Page 2 - Bulletin janvier 2022
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Point de vue







                                                         es besoins de l’économie influent sur les pro-
                                                     Lgrammes scolaires de façon que les futurs tra-
                                                     vailleurs soient en adéquation avec ces besoins.
                                                     Pour un  grand nombre d’élèves qui ne s’orientent
                                                     pas vers une formation professionnelle en fin de col-
                                                     lège, la prise en compte de compétences non tech-
                                                     niques, les “soft-skills”, dans les programmes de
                                                     sciences industrielles (communication avec les
                                                     autres, sociabilité, estime de soi par exemple), sera
                                                     un plus ultérieurement, lors de l’em-
                                                     bauche et du travail en entreprise.
                                                     Mais ces “soft-skills” prenent sou-
                                                     vent une partie du temps d’étude
        des connaissances fondamentales, les “hard-skills”.


        Un ancien élève qui s’est orienté vers le “technique” après le collège puis un
        bac techno F1 pour passer par des “prépas TA” avant de devenir ingénieur Sup-
        Elec, nous livre son point de vue sur ce que ces
        compétences “dures” lui ont apporté dans son
        parcours professionnel.

        L’industrie a besoin de techniciens et d’ingénieurs maitrisant toutes les techniques. Mais
        lorsque ma brosse à dents, dotée d’intelligence artificelle, me brosse les dents en “3D” et
        communique en “Blue tooth” avec mon téléphone intelligent, je m’inquiète.

        L’informatique, appliquée, industrielle, règne sur notre quotidien. Dans ce domaine, au-
        jourd’hui, il y a du travail, le plus souvent bien rémunéré. Ce qui pouvait rebuter les femmes
        dans les métiers industriels ne concerne pas l’informatique, métier propre, en intérieur, ....
        Elles en ont les compétences. La revue “Programmez”, a ouvert ses pages exclusivement à la
        prose des développeuses informatiques et nous en livre un extrait.


        La pandémie qui nous touche depuis deux ans soulève le problème de la réindustrialisation
        de la France. Les sciences industrielles sont au premier rang de celle-ci. Ne devraient-elles pas
        également s’ouvrir concrètement aux graves problèmes écologiques d’aujourd’hui ?

        TPLine a vu le jour au début des années 2000 avec l’étude d’un bras automatisé. Et l’une des
        activités les plus intéressantes, mise en ligne à l’époque, était aujourd’hui obsolète, pour cause
        de passage de l’internet des début à celui d’aujourd’hui.
        Après un profond relookage “Lois de mouvement et cames ...” vient de revoir le jour.






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